Après quelques jours de pluie, de brumes, d'averses, de brumes encore, sur les hauteurs du Beaujolais Vert, les petits coins de ciel bleu flirtent avec les nuages, et dans un camaïeu de bleus, laissent l'âme du peintre vagabonder sur sa prochaine toile.

Mais non, ce n'est pas ici que j'installerai le chevalet. Dans trois jours, c'est dans le Golfe du Morbihan que je poserai mon bagage, mes toiles, mes couteaux, pour peindre la mer, les voiles, les bateaux. Une rencontre avec la Bretagne et le soleil... peut-être.     Rendez-vous dans quelques semaines.